Mathieu Epp, Nidal Qannari, Julie Boitte, Anne Borlée |
Prochaine expédition pour le Québec Sept/Oct 2016 Myriam Pellicane embarque quatre conteurs explorateurs pour une aventure Québecoise, initiée par Maurice Vaney, programmateur du festival des Grandes Gueules à Trois Pistoles à l'occasion des 20 ans de son festival. Julie boitte, Anne Borlée, Mathieu Epp et Nidal Qannari sont ceux de la nouvelle génération, des curieux, des fauves, des poètes animés par le désir de la rencontre, des aventuriers de la parole du genre "la tradition est devant nous" ou "la tradition c'est de l'avant garde!". Peu de préparation, pour se retrouver autour d'impromptus, de veillées improvisées, de balade aux flambeaux, de conteurs locaux, de coureurs des bois, de créatures fantastiques au coeur du domaine de Luc Malenfant, alchimiste-sculpteur à Rimouski mais aussi vers l'archipel magique des Iles de la Madeleine et l'éblouissante Maison des Arts de la Parole à Sherbrooke. Une invitation à un festin d'histoires au coeur de la tourmente où ces cinq conteurs, blancs-becs, bâtards et sang mêlés, traversés par le souffle de leurs cousins Deux Pattes aiguillonneront leurs récits de loin en loin, d'ici à là-bas, de là-bas au dedans, pour une trajectoire de rêve.... http://maisondesartsdelaparole.com/lesjourssontcontes/http://www.conteseniles.com/programmation.html http://compagnonspatrimoine.com/ 5 à 7 Festival les jours sont contés "Elle, Julie Boitte, conte lentement. Sa voix douce, un peu grave, se rend tranquillement jusqu’aux fonds, jusqu’aux derniers spectateurs arrivés. Jusqu’à moi. La plupart du temps, elle se tient droite, tendue vers son public. Lorsqu’elle bouge ses longs bras et ses longues jambes, apparaît le personnage, le dialogue, le territoire de son histoire. Tout se fait lentement avec une certaine gourmandise. Lui, Michel Faubert, conte plus vite. Sa voix, reconnaissable à sa vibration particulière, nous vrille au cœur de l’intrigue du conte. Sonore, effilée et grave, elle s’empare de notre attention. Il joue avec les notes, les rythmes, chante et conte dans le même souffle. Une soirée de contes c’est, bien sûr, les histoires partagées – qui se glisseront peut-être dans notre mémoire – c’est aussi des sensations, des impressions, des images et des sons. Une soirée de contes c’est l’amalgame évanescent des sens avec la parole du conteur et de la conteuse. Une soirée de conte c’est un échange entendu entre celui qui vient parler et celui qui vient écouter : un silence pour une histoire." Josée Courtemanche Le spectacle FIGURES DE PROUE à Sherbrooke ici Julie Boitte, Anne Borlée et Myriam Pellicane Pour Figures de Proue : les Photos sont de Maïa Pons Van Dijk Le spectacle FIGURES DE PROUE à Sherbrooke, ici Mathieu Epp et Nidal Qannari Myriam Pellicane un article de Jean Sébastien Dubé, université de Sherbrooke : La 24e édition du Festival Les jours sont contés en Estrie vient de se terminer… Mais elle avait commencé sur des chapeaux de roue! Le spectacle d’ouverture du 13 octobre 2016 s’appelait Figures de proue. Il y avait assez longtemps qu’un spectacle de contes ne m’avait pas enthousiasmé à ce point. Plusieurs spectacles me satisfont, me rendent heureux. Mais celui-là m’a galvanisé. Assez pour que j’aie envie de reprendre mon clavier et d’écrire pour mieux donner sens à ce qui m’avait à ce point charmé. Si ce show était à ce point exemplaire pour moi, il doit bien s’y trouver quelques leçons qu’il importe de distiller comme un précieux élixir. Ils étaient cinq Figures de proue:
Leçon no.1 : Un collectif, c’est plus que la somme des parties Quelque part, sans qu’on ne comprennent trop comment et pourquoi, leurs énergies à tous « restent » sur scène, même quand quatre sont en retrait et qu’un seul d’entre eux conte. On sent que ce spectacle est coloré des qualités de chacun d’entre eux du début à la fin. Et ils sont véritablement présents du début à la fin, en écoute totale les uns des autres.Pour moi, il y a là une première leçon pour tous les collectifs : on peut présenter devant public l’addition successives des histoires des uns et des autres, mais c’est tellement plus intéressant quant on peut présenter une telle synergie. Leçon no.2 : Vive l’expérimentation si la parole reste souveraine! Y’a des spectacles de conte où l’artiste est assis devant nous sans bouger et ça fonctionne complètement. Puis il y a des ovnis comme Figures de proue qui intègrent des instruments de musique, des chansons, des récitations de poésie, de la danse contact, de la pantomime, des bruits de table, des halètements, des solos, des duos, des trios… Pourtant, jamais on ne se demande si c’est bien à un spectacle de contes auquel on a été convié. Encore une fois, y’a des hybridations intéressantes (conte-théâtre, conte-marionnette, conte-clown, conte-musique, etc.), mais ici tous les autres médias soutiennent le conte ou du moins la parole. On se souvient d’abord des histoires. Le fait qu’elles aient été dites debout sur une table, de dos au public ou accompagnées par le souffle d’un accordéon ne vient que soutenir ou magnifier le propos. Nous étions plusieurs conteurs et conteuses dans la salle ce soir-là à admirer toute la liberté dont avait fait preuve le quintet. Une invitation à faire de même? Leçon no.3 : C’est payant de prendre des risques… quand c’est signifiant et bien exécuté Il y a une bonne part de risque dans le fait de conter dans les bras d’un autre conteur, pendant qu’un autre membre de l’équipe est appuyé sur le mur en train de regarder dans le vague d’un air sauvage, dans le fait d’improviser une partie d’une histoire avec un partenaire, de décliner son identité au milieu d’un spectacle ou de chanter à trois voix une chanson apprise deux semaines plus tôt. Chaque fois, on quitte le confort d’un contage tranquille, sans problème. Et cette mise en danger est très bien reçue par le public si elle est faite avec rigueur : ça ne doit pas distraire de l’histoire et il ne faut pas se casser la gueule. Ça nourrit le spectacle d’inusité. Donc, pour que ça passe, un œil extérieur qui peut nous dire si c’est juste et… travail, travail, travail. Leçon no.4 : Le jeu de la répétition dans les contes, version 2016 Les contes sont faits de structures connues, de multiples répétitions dans les motifs et dans les noms des personnages, par exemples. J’ai trop souvent entendu des conteuses et conteurs escamoter ces redites pour accélérer un récit ou pour éviter de lasser le public actuel, habitué de zapper. Il me semble qu’on nous prive alors d’une des grandes forces de ces textes. Les figures de proue nous ont démontré à quel point ces jeux de mots et de sens peuvent nourrir un spectacle. Myriam estime que c’est parce que tous les conteurs du groupe sont particulièrement sensible à l’aspect rituel des contes. Chaque reprise n’a pas à être exactement pareille à précédente et ces petites variations viennent complètement enrichir le propos. Qu’il s’agisse de répétions obsessionnelles (« Ça va pas, ça va pas. »), rituelles (« Vent devient brume, brume devient nuage… ») ou qui illustrent l’habitude (« Comme tous les soirs, il a placé ses pantoufles en ligne avec le tapis. »), le spectateur prend goût à découvrir comment sera dite la prochaine répétition et son attention devient exacerbée plutôt qu’endormie. Leçon no.5 : Sans (nécessairement) rire, tout ça doit se faire dans le plaisir! Ça pourrait aller de soi, mais malheureusement non. De tels spectacles peuvent devenir lourds d’intentions et de tentatives à passer des messages… ou de faire rire pour s’assurer de « désennuyer » le public. Rien de cela ici. Que des cadeaux offerts dans une atmosphère ludique, sereine, mais empreinte de solennité. Et pourtant chaque spectateur a pu être touché de plusieurs façons différentes : j’ai ri, j’ai versé une larme, j’ai été interpellé. On m’a parlé de marginalité, de non-violence, de détermination, de sensualité, d’amour, de mort, etc. J’ai goûté chaque nuance ET j’ai goûté l’ensemble. Bref, un maudit bon show! Le spectacle FIGURES DE PROUE à Sherbrooke , ici Julie Boitte, Nidal Qannari et Anne Borlée De Bangkok à New-York, de Paris à Trois Pistoles, de la forêt de Luc Malenfant à la jungle amazonienne, ici à Sherbrooke Nidal Qannari, notre illustre Puma, notre Peter Brook du Conte, séduisant mais tellement généreux, unique. Sherbrooke, un article de Maryse Robillard : Résonnent encore en moi, la voix forte de Botok et le son de son poing frappant fièrement sa poitrine aussi grosse que celle d’un cachalot; le chant des oiseaux royaux qui jamais ne mentent et révèlent les défauts; le galop des chevaux et leurs hennissements; la voix séduisante et railleuse du prince; et même le son du rougissement des joues de Miette, la bergère, devant ledit prince… Sans oublier la vieille Léa, pleine de sagesse et de bon sens, qui craque de partout! De belles histoires, sans âge et de tout public, le tout, ficelées ensemble par le son de la harpe harmonieusement jouée par la conteuse… Un cadeau, vraiment! Anne Borlée n’est point un grand écran géant, comme elle nous l’a fait remarquer en introduction, mais elle est tout aussi captivante… Sinon plus! Sherbrooke, extrait de l'article de Marine Pouyfaucon : Est-ce que tu entends ?… Les mots que racontent Matthieu Epp, oui, c’est sûr que tu les entends. Mais entends-tu… La vibration de sa voix ? Le bruissement de ses mouvements, tels une danse contée ? La profondeur de ses silences ? Tantôt le souffle du vent, tantôt les mélodies envoutantes qui sortent de son accordéon ? J’ai été fascinée par la précision et l’adresse avec lesquelles il utilise une variété de supports qui font un écrin à la parole contée. La musique, le chant, le mouvement. Ce n’est jamais trop, le dosage est parfait. Matthieu Epp fait corps avec son accordéon diatonique, tel un deuxième poumon musical. Le rythme de la voix, du corps, des mots sans cesse en variation, pour le plus grand plaisir de toujours nous maintenir alertes. Matthieu Epp n’a pas seulement l’oreille musicale : il a l’oreille attentive. A l’écoute de son assistance, il n’hésite pas à interagir avec les éléments qu’il capte sur le moment ni à intégrer l’humour, afin de ne pas nous laisser, jamais, dans un état d’abattement. Autant Michel Hindenoch interpelle mon nez quand il parle du « parfum de l’histoire », autant Matthieu Epp s’est adressé profondément à mes oreilles. C’est la musicalité de l’histoire qui m’a frappé chez ce conteur. « Comment l’oublier celui-là, oui comment l’oublier… celui qui marche vers le nord. Celui qui marche vers le nord.... » « Sept garçons qui courent…. » Quelques jours après avoir entendu Matthieu raconter, je fredonne quelques morceaux d’histoires qui m’accompagnent encore, par bribes, telles des incantations magiques. In-situ la rivière Magog à Sherbrooke Figures de Proue récapitulatif Maison des Arts de La parole Sherbrooke Figures de Proue Dans les loges, Maison des Arts de la Parole Sherbrooke Waterville : un collectif de familles réuni autour d'une école libre, non loin de Sherbrooke, et des contes.. Mathieu Epp et Julie Boitte, Maison des Arts de la Parole, Sherbrooke Mathieu Epp, Myriam Pellicane, Nidal Qannari Anne Borlée |
Sur le traversier Myriam Pellicane, Marc André Faurthin, Francis Désilets, Anne Borlée et Julie Boitte |
L'île d'Entrée, arrivée aux îles |
Francis Désilets conteur de
Montréal et Mark André Faurthin de Trois Rivières. |
Début d'exploration sur le bateau |
Cap aux Meules : les conteurs de Figure de Proue racontent avec des conteurs venus du Québec et de la Nouvelle Ecosse, la baie Ste Marie.. |
Sous les îles de la Madeleine, il y a 9000 mètres de sel, ses paysages et ses roches sont d'une grande diversité.. |
La carte des îles de la Madeleine, avec l'érosion et la montée des eaux ces îles sont amenées à disparaitre dans une centaine d'années.. |
La shed des raconteux avec André Vignault et la fameuse casquette "Folklore" rebaptisé par les jeunes de la relève "les démons du Folklore" |
Repas chez André Vignault avec Clara Dugas, conteuse de la baie Ste Marie |
Raconter chez les jeunes adultes en réinsertion, les îles et la transmission orale avec la team des "démons du folklore" |
Une femme qui sait : Manon Lacelle, chamane de son état, conteuse. Ici dans une "Shed" de raconteux, en pleine action |
Préparation de la grande nuit des flambeaux : des dizaines de bénévoles madelinots investissent les grottes et balisent le bord de mer sur la Dune sud |
Grande Nuit des Flambeaux : les conteurs de Figures de Proues occupent la plage avec Pierre Labrèche, conteur de Gaspésie, Léonce Arseneau, conteur des îles et tous les autres |
Un temps exceptionnel pour la Nuit aux flambeaux, Francis Désilets et Michel Boudreau, conteurs en repérage |
5 à 7 au Centre d'interprétation du Phoque |
Session à la polyvalente : le lycée des îles! Anne Sophie Lapierre conteuse de la relève |
Auberge des conteurs : Gros Cap |
Dans les loges de la salle des pas-perdus, une soirée mémorable. En tenue de Hockey, pour une soirée Conte-Impro sur le ring |
Les gens des îles écoutent intensément et si intensément qu'ils
perforent la carcasse épaisse des apparences et libèrent essences et
lumières |
Francis Desilets, Nicolas Landry, Myriam Pellicane |
Ouverture du Festival au Musée de la Mer, Havre-Aubert, avec tous les conteurs, les danseuses des Iles et le lancement du livre collectif : d'Iles en Iles.. de port en port |
Le Musée de Paul Grégoire avec Julie Boitte |
le jardin de Claude Bourque Squelette de Dauphin Un fou de bassan et Myriam Pellicane |
5 à 7 Mathieu Epp et André Vignault |
Les jeunes du "lycée" des îles, tous conteurs, tous de la relève, ici la cantine |
5 à 7 conté à l'Abri de la Tempête, Etang du Nord, des jeunes conteuses qui porte le patrimoine oral des îles haut et fort! Anne-Sophie, Mélanie, Alice et Alicia avec Anne Borlée et Myriam Pellicane |
La veillée des conteurs Madelinots à Cap aux Meules |
Francis Désilets, Marc André Faurthin, Sylvain Vigneau et Michel Boudreau entourent un jeune de la relève |
Mathieu Epp |
Myriam Pellicane et Julie Boitte chez l'artiste Arthure , prémisses d'halloween |
La maison des poupées de Madame Arthure |
Mordor |
Trois Pistoles, le Festival des Grandes Gueules et les compagnons du patrimoine vivants |
Festival de Trois Pistoles, le catring sous l'église Anne Borlée, Julie Boitte et Nidal Qannari |
La Forge à Bérubé : lieu mythique où nous avons joué en duos, quatuors pour les grandes veillées contes et slam |
Les chevaux du vent |
Cadeaux des spectateurs à Trois Pistoles après les spectacles : griffes, pattes et poils et épines de porc épic et une crotte d'orignal ! |
Suite des cadeaux d'après spectacles : pattes d'outardes et os de gibier d'indiens Cree |
Dans les loges de la forge à Bérubé, Myriam Pellicane et Michel Faubert |
Julie Boitte et Anne Borlée |
Le tabac des Mohawks |
Visite dans la réserve des Mohawks, les Iroquois |
Sur la route |
Balade Contée chez Luc Malenfant : 6 mois de préparation pour un spectacle grandiose, complet en un jour, une forêt travaillée en Land Art avec une proposition artistique de Figures de Proue |
préparation et repérage |
préparation et repérage |
Une barque, une licorne noire, un passeur, Mathieu Epp, début de la ballade.. les spectateurs sont sur la rive.. Magie, Mystère, incantation.. |
Spectacle en Forêt Figures de Proue St Mathieu non loin de Rimouski |
Mathieu Epp raconte en Forêt |
En attendant le public, Figures de Proue |
Une créature de Luc Malenfant |
Conteur sur la berge Nidal Qannari |
Le cercle de Pierres : Cromlech, là où Figures de Proue a stoppé la pluie |
La porte Sud Myriam Pellicane |
Dans le comlech |
Nidal Qannari |
Myriam Pellicane |
Julie Boitte |
Les enfants de St Mathieu ont soigneusement habillé la forêt de Luc Malenfant |
le duo Anne Borlée, Nidal Qannari |
La maison secrète du Père Noël : il s'appelle Réal .. |
le Traversier |
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2017
19h30
Spectacle Figures de proue (Chapelle) | MUSEE DAUPHINOIS
Carte
blanche à Myriam Pellicane avec Julie Boitte, Matthieu Epp et Don
Fabulist
Un parcours crépusculaire qui voyage sur l'océan
vibratoire des histoires et des mythes pour explorer des terres
rares.
Chaque conteur se laissera dépouiller entre terre et ciel
dans la Chapelle baroque Ste Marie d'en Haut qui petit à petit
perdra sa peau pour dévoiler le présent, révéler le passé et
convoquer le futur.
Une façon de donner à voir des conteurs
audacieux qui explorent l'intime, le fragile et la musique au cœur
de la rencontre des langues secrètes qui porte la tradition des
vilipendés et qui héberge la poésie de la vie.
Dès 12 ans |
Durée 1h15 | De 5 à 10€ | Rens. 04 76 51 21 82 ou
www.artsdurecit.com
les serpents s'entrelacent, Cerbère ouvre sa triple gueule, le feu chante par les trois langues de foudre. C'est l'heure où les bougies s'allument, les étoiles se parlent, l'âme des soleils demain fera soupirer les fleurs...
Figures pour une Chapelle crépusculaire : le Sataniste, la Momie et le Rétrogeek
JEUDI 10 AOUT 2017 rdv au Théâtre Ph'Art du Casino de CAPBRETON à 21H pour la clôture du Festival
FIGURES
de PROUE
France/Québec/Belgique Julie Boitte, Anne Borlée, Francis Désilets
et Matthieu Epp, Myriam Pellicane.
Pirateries, amours du dessus et
du dessous des océans à travers les démons du folklore. Monstres
et naufragés, sirènes trans-genre, pêcheurs, une rencontre joyeuse
entre entre poils roux et tentacules, un one-shot imprévisible qui
mixe les accents et l'insolence des pratiques de la tradition
orale.
Dessin Siyu Chen tout
le programme sur :
http://www.capbreton.fr/infos-pratiques/mes-loisirs/l-offre-culturelle-a-capbreton/capbreton-festivals/festival-du-conte.html
Quel beau voyage je viens de faire dans le domaine de l'harmonie, du merveilleux, de la complicité, entre paysages et personnages, entre rêve et réel. C'est un beau voyage avant d'aller dormir légère, légère.... Merci. Paule
RépondreSupprimerSalut, je me demandais QUI ES-TU?
RépondreSupprimer😊
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